Colocataires en commun (JTIC)
Que sont les colocataires en commun (JTIC)?Les colocataires en commun (JTIC) sont un type de compte de courtage appartenant à au moins deux personnes sans droit de survie accordé à aucun des titulaires du compte.
Points clés à retenir
- Les colocataires en commun (JTIC) sont un compte de courtage détenu par au moins deux personnes sans droit de survie accordé à aucun des titulaires du compte.
- Les locataires peuvent spécifier dans un testament comment répartir leurs avoirs à leur décès.
- Les comptes JTIC peuvent détenir un intérêt inégal dans les propriétés mais ont toujours un accès et des droits égaux sur la propriété.
Comprendre les colocataires en commun (JTIC)
Un locataire survivant d'un colocataire dans un compte commun n'acquiert pas nécessairement les droits (et les avoirs en compte) de la personne décédée. Chaque locataire du compte peut indiquer dans un testament comment son avoir sera distribué à son décès. La propriété des membres dans le compte est généralement déterminée au prorata. Cela signifie que s'il y a deux locataires dans le compte, chacun aura une réclamation de 50% sur la valeur du compte.
Considérations particulières
Les colocataires en commun pourraient contrôler les intérêts inégaux dans la propriété. Ils auraient toujours le droit de partager mutuellement la propriété sans avoir le droit de se refuser l'accès à la propriété. Une colocation commune pourrait être établie par un testament laissé par le précédent propriétaire d'une propriété. Le testament pourrait stipuler le pourcentage de propriété pour chaque partie nommée.
Les propriétés des locataires de JTIC peuvent vendre leurs participations individuelles. Même si la propriété est vendue, elle est traitée comme une unité entière et non subdivisée.
Un accord pour être des colocataires en commun pourrait également être formé lorsque plusieurs parties mettent leur financement dans une acquisition de propriété. Le pourcentage des actifs engagés par chaque partie constituerait généralement la base de leur propriété et de leur partage. Par exemple, si une partie s’engageait à 85% des fonds nécessaires à l’acquisition d’une propriété, elle en revendiquerait 85%.
La propriété en question est généralement traitée comme une unité entière plutôt que subdivisée entre les locataires conjoints. En d'autres termes, chaque locataire aurait le droit d'utiliser l'intégralité de la propriété et pas seulement une partie en fonction de la taille de sa réclamation.
Selon les lois locales et le type de compte, chaque locataire peut avoir le droit, à sa discrétion, de puiser dans les ressources associées à la propriété commune ou au compte. Cela peut inclure des retraits ou même la vente de leurs intérêts dans la propriété. Certains États exigent des signatures de toutes les parties pouvant revendiquer une partie de la propriété pour pouvoir effectuer des transactions impliquant des locataires communs dans des comptes communs ou des biens. Cela obligerait toutes les parties à s'entendre pour conclure la vente de l'ensemble de la propriété. Chaque locataire peut choisir de vendre sa participation individuelle. Même si un locataire vendait sa partie de l'intérêt dans la propriété, elle serait toujours traitée comme une unité entière et non subdivisée.