Riba
Le riba est un concept en islam qui fait largement référence au concept de croissance, croissance ou dépassement. En droit islamique, il s’est également traduit par des gains d’exploitation illégaux dans les affaires ou le commerce.
Briser le Riba
La riba est un concept de la banque islamique qui fait référence à des intérêts facturés. On a également parlé d'usure ou de l'application de taux d'intérêt déraisonnablement élevés. Il existe également une autre forme de riba, selon la plupart des juristes islamiques, qui fait référence à l'échange simultané de marchandises de quantités ou de qualités inégales. Bien que, ici, nous ferons référence à la pratique des intérêts chargés.
Raison d'être de Riba
Il est interdit par la charia (loi religieuse islamique), car on pense qu'il est exploiteur. Bien que les musulmans s'accordent pour dire que le riba est interdit, il y a beaucoup de débats sur ce qui constitue le riba, qu'il soit contraire à la charia ou seulement découragé, et s'il doit ou non être puni par des personnes ou par Allah. Selon l'interprétation, riba peut uniquement faire référence à un intérêt excessif; Cependant, pour d'autres, le concept même d'intérêt est riba et est donc illégal. Par exemple, même s’il existe un large éventail d’interprétations sur le point où l’intérêt devient exploitant, de nombreux chercheurs modernes croient que cet intérêt devrait être autorisé jusqu’à la valeur de l’inflation, afin de rémunérer les prêteurs pour la valeur temps de leur argent, sans créer profit excessif. Néanmoins, le riba était largement considéré comme une loi et constituait la base du secteur bancaire islamique.
Le monde musulman lutte avec le riba depuis un certain temps, sur les plans religieux, moral et juridique, et finalement, les pressions économiques ont permis un assouplissement de la réglementation religieuse et juridique, du moins pour une certaine période. Dans son livre, Jihad: La piste de l'islam politique, Giles Kepel écrivait que "comme les économies modernes fonctionnent sur la base des taux d'intérêt et de l'assurance en tant que conditions préalables à un investissement productif, de nombreux juristes islamiques se sont creusés la tête pour trouver le moyen de les utiliser sans comparaître. pour enfreindre les règles édictées par le Coran "et" le problème était de plus en plus grave alors que de plus en plus d'États musulmans sont entrés dans l'économie mondiale dans les années 1960 ". Ce relâchement de la politique économique a duré jusque dans les années 1970, quand une "interdiction totale de prêter avec intérêt a été réactivée".
La charia interdit la riba pour plusieurs raisons. Il vise à assurer l’équité en échange. Il vise à garantir que les personnes puissent protéger leur richesse en rendant illégaux les échanges injustes et inéquitables. L’islam a pour but de promouvoir la charité et d’aider les autres par la bonté. Supprimer les sentiments d'égoïsme et d'égocentrisme, qui peuvent créer une antipathie sociale, une méfiance et un ressentiment. En rendant le riba illégal, la loi islamique crée des opportunités et des contextes dans lesquels les personnes sont encouragées à agir avec charité - en prêtant de l'argent sans intérêt.
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